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Channel: Le Nouvelliste - News - Martigny région
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Des animaux aux petits soins...

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Inauguration hier d'un cabinet vétérinaire flambant neuf, aménagé dans le bâtiment de l'ancienne forge.

Terre éminemment riche en UGB (unités gros bétail) et autres petits animaux de compagnie, l'Entremont dispose désormais d'un nouvel atout sanitaire. Sous l'impulsion de sa Muni cipalité (voir encadré), la commune de Vollèges a en effet fêté hier en fin de journée la mise en service officielle d'un cabinet vétérinaire flambant neuf et aménagé dans le bâtiment de l'ancienne forge. Une structure appelée à couvrir l'ensemble des besoins de tout un district qui a conservé une forte identité rurale. " Il est clair que nous sommes appelés à intervenir aussi bien ici sur nos terres vollégeardes que sur les hauts de Bagnes ou à Bourg-Saint-Pierre", précise le Dr Bruno Robert, l'un des trois vétérinaires désormais en poste au coeur de Vollèges. Un spécialiste du gros bétail qui n'est de loin pas un inconnu dans la région. " Cela fait sept ans maintenant que je travaille en Entremont. Une région que j'ai découverte après avoir répondu à une offre de recrutement formulée sur internet par mon prédécesseur, Jean-Paul Bessard", souligne le docteur belge formé à l'Uni versité de Liège et qui y a décroché son diplôme en 2000.

La proximité privilégiée

Parfaitement intégré, marié et père de deux enfants, Bruno Robert devait se contenter jusqu'ici d'un petit cabinet aménagé à son domicile privé. " Une situation qui ne donnait pas franchement satisfaction. Avec mes collègues Séverine Delehoye (elle aussi spécialisée dans le gros bétail et employée à 100%) et Nathalie Rausis-Fellay (qui travaille à 50%, surtout sur les petits animaux) et nos deux assistantes Letizia et Lucile, nous sommes aujourd'hui heureux de pouvoir disposer de locaux spacieux et parfaitement équipés." Qui plus est idéalement situés au coeur du village. "C'est vrai, moi qui souhaitais privilégier cet aspect de proximité et de cabinet à caractère rural, je suis comblé."

7 jours sur 7, 24 heures sur 24

A quelques mètres de la maison communale, le rez-de-chaussée de l'ancien bâtiment de la forge a été ainsi entièrement repensé pour pouvoir abriter une réception, une salle d'attente, un coin pharmacie, un bureau, une salle de radiographie, mais aussi une salle d'opération et un même espace dédié à de courtes hospitalisations. "Nous ne bénéficions pas du statut de clinique, mais nous avons la possibilité d'assurer le suivi d'un animal qui vient d'être opéré durant quelques jours" , souligne Bruno Robert qui précise que les consultations dans le cabinet de Vollèges se font uniquement sur rendez-vous. " Mais l'essentiel est que nous assurons une permanence 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24 " . Il est vrai qu'avec des unités gros bétail qui représentent les 70% de leurs activités, Bruno et Séverine passent le plus clair de leur temps sur le terrain, dans les étables ou à courir les alpages de la région durant la belle saison. "Nos journées de travail sont planifiées en fonction des appels que les éleveurs nous font parvenir chaque matin..."


"La cuisine au beurre", sauce bagnarde

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Y Fayerou en scène dès vendredi prochain pour rire aux éclats.

Les amateurs de patois vont être gâtés. Les Fayerous bagnards s'apprêtent en effet à remonter sur scène pour distiller leurs chants, morceaux de "shloute", piécettes et autres sketchs, ainsi qu'une adaptation de "La cuisine au beurre". De quoi faire rire aux éclats tous les publics, et même les non-initiés puisque une traduction simultanée en français sera assurée sur grand écran.

C'est Jean Filliez qui a adapté la version bagnarde du fameux film de Gilles Grangier. Et avec Bernard Dumoulin et Roland Gard dans les rôles principaux, Fernandel et Bourvil n'ont qu'à bien se tenir! Parti défendre le pays à la "Gran Tzarmotâne" pendant la Seconde Guerre mondiale, Arsène (Bernard Du moulin) est fait prisonnier des Allemands et déporté en Si bérie...Une bien drôle de Sibérie! Quinze ans plus tard, il revient au pays et atterrit dans son restaurant où il retrouve sa femme Cri-Cri (Marianne Gard). Mais le croyant mort, celle-ci s'est remariée à Eustache (Roland Gard). C'est alors une rocambolesque vie à trois qui commence! Laurent Bürcher a également mis la main à la pâte, via une saynète jouée par Anne et François Veuthey, une lettre d'une maman à son fils et, cerise sur le gâteau, une petite surprise que Laurent a réservée à un fervent défenseur du patois bagnard. Pour clore cette veillée, n'oublions pas la traditionnelle "encaillée" d'Eddy et Jean-Pierre, avec pain et fromage offerts à tous.

A voir à la salle polyvalente de Bruson, le vendredi 28 février à 20 h, puis les 1er, 7 et 8 mars (à 20 h) ainsi que le dimanche 9 mars à 14 h. Entrée libre, chapeau à la sortie.

Un nouveau municipal dans les rangs du PDC

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Un nouveau visage fait son apparition au sein de la Muni cipalité de Vernayaz en la personne de Thierry Galafate, 32 ans, en remplacement de Jean-Pierre Aymon, démissionnaire pour des raisons de santé. Le nouveau conseiller communal issu des rangs du PDC a été élu tacitement et entre aussitôt en fonction. " Il siégera lors de la prochaine séance de la Municipalité de Vernayaz ", souligne Jérôme Dubois, président du PDC local.

De père italien et de mère suisse, Thierry Galafate est né le 20 février 1982 à Saint-Maurice. Après cinq ans de collège à Saint-Maurice où il a obtenu une maturité cantonale, il a fréquenté durant cinq ans et demi l'Université de Lausanne où il a décroché une licence en lettres. Il a obtenu en parallèle un diplôme d'enseignement pour le secondaire II à la HEPVs, ainsi qu'un certificat d'enseignement à l'Institut fédéral des hautes études en formation professionnelle (IFFP). Depuis 2013, il enseigne également la culture générale à l'Ecole d'agriculture de Châteauneuf.

Sur le plan politique, Thierry Galafate a fait partie de la JDC de Vernayaz qu'il a présidée en 2012. Marié à Maya, il est père de deux filles de 3 ans et demi et 2 ans.

La Municipalité de Vernayaz compte sept membres, 4 PDC, 2 PLR et 1 PS. CM/C

Le salon des métiers "Your challenge" attire 19'000 visiteurs en 6 jours

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La quatrième édition de "Your Challenge", le salon des métiers et formations, a attiré 19'000 visiteurs au CERM de Martigny. Un bilan positif pour les organisateurs.

Le Salon des métiers et formations "Your Challenge" a attiré 19'000 visiteurs en six jours à Martigny (VS), ont dit dimanche les organisateurs au terme de la manifestation. Un bilan jugé "100 % positif" pour ce rendez-vous biennal dont cette édition était la quatrième.

Quelque 80 exposants y présentaient les possibilités de formation et d’emploi dans huit domaines distincts (Nature et Construction, Santé - Social - Enseignement, Alimentation - Hôtellerie - Tourisme, Commerce - Transport - Sécurité, Art - Médias - Habillement - Soins esthétiques, Technique et Industrie, Formation supérieure et continue, Etat du Valais).

Environ 9000 écoliers sont venus s'informer sur les 400 métiers présentés. La prochaine édition est d'ores et déjà agendée du 8 au 13 mars 2016.

Vital pour préparer son avenir

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Le Salon des métiers, 4 e du nom, s'est achevé hier. Les organisateurs tirent un bilan très positif d'une manifestation qui fait l'unanimité et qui sera reconduite en mars 2015.

Avec plus de 19 000 visiteurs - parents et enfants confondus -, 80 exposants et 400 professions représentées, le Salon des métiers a fermé ses portes hier au CERM de Martigny sur un résultat " 100% positif ", selon un communiqué diffusé par les organisateurs. A l'heure du bilan, les représentants de FVS Group, de l'Etat du Valais et de l'Union valaisanne des arts et métiers (UVAM) étaient aux anges à l'évocation du déroulement de cette 4e édition qui, six jours durant, a fait la part belle aux opportunités d'emploi et de formation dans huit domaines spécifiques.

" Tous les retours sont positifs. Si la qualité des stands est l'un des ingrédients du succès, le travail effectué en classe par les jeunes avant de faire le déplacement du CERM a grandement contribué à la réussite de cette 4e édition. Les élèves ne viennent pas en course d'école. Ils sont là pour s'informer, en savoir davantage sur les possibilités qui leur sont offertes ou pour valider leurs orientations professionnelles. " Président du comité d'organisation, François Frezza affichait donc une mine réjouie hier à l'heure de l'analyse. Il se félicitait en particulier des retombées liées à la présence de trois grands noms de la cuisine en Suisse romande, Frédy Girardet, Philippe Rochat et Benoît Violier. " Ces trois personnalités qui sont toutes au bénéfice d'un CFC ont véritablement conféré une plus-value à notre salon. Elles ont pu transmettre leur amour du métier et partager leurs compétences avec les visiteurs intéressés ou avec de simples curieux lors de brillantes démonstrations effectuées sur le stand des métiers de bouche. " Les autres animations ont également débouché sur le succès escompté, à l'image du concours de bûcheronnage mis sur pied samedi en plein air, ainsi que du défilé de mode et du show coiffure organisés dimanche, qui ont vu la présence de 400 à 500 spectateurs. " Les jeunes font de gros efforts et le public apprécie. L'interactivité et les échanges, c'est vraiment l'âme de ce salon ", résume le directeur Raphaël Garcia.

Une importante préparation en amont

" Ce salon est un maillon essentiel de notre système de formation. Intégré au processus d'orientation professionnelle au niveau scolaire, il sert de vitrine à la richesse de nos métiers et fait aussi état des possibilités offertes en matière de formation supérieure ", se félicitait hier Claude Pottier, chef du Service cantonal de la formation professionnelle et représentant de l'Etat du Valais dans l'organisation de l'événement. Et d'ajouter aussitôt: " Il y a un important travail de préparation en amont. C'est la grande force de ce rendez-vous unique en Suisse romande et l'une des raisons pour lesquelles l'Etat du Valais est très impliqué dans sa mise en oeuvre. "

Secrétaire de l'Union valaisanne des arts et métiers (UVAM), troisième partenaire dans l'organisation du salon, Marcel Delasoie tenait le même discours: " Ce salon montre la réalité des professions qui y sont représentées. Tous les deux ans, il rend aussi compte de l'évolution des métiers, des méthodes de travail et des matériaux utilisés. Son rôle est de servir de complément aux intérêts de notre jeunesse, et ça marche! Depuis que le salon existe, nous avons constaté un tiers de rupture de contrat en moins dans certaines professions. Ce phénomène correspond parfaitement à nos attentes. "

Les dates de la 5e édition du Salon des métiers et formations ont déjà été arrêtées. En 2016, le rendez-vous se tiendra du 8 au 13 mars à l'intérieur du complexe du CERM.

Valaisan champion romand

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Le championnat romand des installateurs-électriciens CFC a souri à un Valaisan, Yoann Schmid ("Le Nouvelliste" du 21 février). Le Chablaisien qui a terminé au 1er rang est donc sélectionné pour la finale suisse qui se tiendra du 17 au 21 avril à Berne avec le secret espoir de décrocher son sésame pour les Mondiaux de 2015 à São Paulo. Yoann Schmid a devancé deux Genevois et un Fribourgeois, eux aussi qualifiés pour la finale nationale. CM

Acte de cruauté à Martigny: "Rambo", quatre mois, a dû être euthanasié

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"Rambo", un samoyède âgé de quatre mois, a été victime d'un acte de cruauté. Plainte pénale a été déposée.

Martine Fleutry a la voix étreinte par l’émotion. Cette Martigneraine âgée de 52 ans a subi un grave accident à la fin des années septante. Depuis, les chiens occupent une place essentielle dans son existence. Elle en a eu cinq, «Brahma», «Rambo», «Dick», «Rocky» et encore «Rambo». «J’ai toujours eu des chiens dans ma vie, ils m’ont aidée à surmonter mon handicap et à remarcher après mon accident. D’ailleurs, j’ai toujours eu un animal à mes côtés», souligne-t-elle.

Sa tristesse,  sa colère aussi, puisent leur origine dans la mort de son dernier petit compagnon, «Rambo», un Samoyède âgé de quatre mois seulement. Après avoir longuement discuté avec les membres de sa famille, elle a décidé d’en parler.

Un pieu enfoncé dans la gorge

Martine qui habite à l’avenue du Grand-Saint-Bernard 64, à Martigny, va droit au but pour expliquer les circonstances de la disparition de «Rambo». «Il a été victime de maltraitance. On peut parler d’acharnement et même de cruauté. Le 8 février, lorsque nous l’avons retrouvé, il avait un pieu enfoncé dans la gorge et plusieurs côtes cassées. Il a dû être euthanasié chez sa vétérinaire, à Martigny», raconte-t-elle, des tremolos dans la voix.

«Nous sommes allés le chercher en France, près de Grenoble. Je l’avais depuis le mois de décembre. Il était plein de vie. Je ne comprends pas que l’on puisse ainsi s’en prendre à un petit animal sans défense qui faisait confiance à toutes les personnes qu’il rencontrait.»

Plainte pénale déposée

Une plainte pénale contre inconnu a été déposée  le 10 février auprès de la Police cantonale par la famille Fleutry. Une enquête a été ouverte et une nécropsie ordonnée pour connaître les circonstances exactes de la mort de «Rambo». La Ligue valaisanne de protection des animaux  a également été informée de la situation. «Nous voulons absolument savoir ce qui s’est passé», lâche Georges Fleutry, le père de Martine, qui note au passage que ce n’est pas la première fois que «des choses bizarres» se produisent dans ce quartier situé à proximité du Bourg. Des chats auraient ainsi ingéré de la mort aux rats et plusieurs plaintes ont été déposées, sans trop de résultat pour l’instant. «Dans le quartier, on sait ce qu’il en est, mais personne ne peut ou ne veut bouger le petit doigt. On ne comprend pas», lâche Georges Fleutry, un brin dépité.

Nouveau compagnon à 4 pattes

«Je suis écoeurée par de tels agissements», déclare Martine qui, visiblement, a de la peine à s’en remettre. Elle qui avait les yeux de Chimène pour son petit «Rambo» a décidé de faire contre mauvaise fortune bon cœur. Elle a même déjà entamé des recherches en vue de l’acquisition d’un nouveau compagnon à quatre pattes. «Je le recevrai dans quelques semaines, mais j’ai peur de ce qui risque de lui arriver. Je crains aussi pour mon intégrité physique.»

A la Police cantonale, le porte-parole Markus Rieder confirme qu’une plainte contre inconnu a été déposée en date du 10 février: «Une enquête a été diligentée par le Ministère public, mais cela peut prendre du temps, car tout un travail de recherche et de récolte de preuves doit être mené avant de pouvoir procéder à une interpellation.»   

Bagnes: accident mortel de "wingsuit"

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Un Suisse est mort dimanche dans la région du Petit Combin suite à un atterrissage raté en "wingsuit". Le malheureux a heurté le sol au niveau du glacier "Pendant" du Petit Combin. Une avalanche a ensuite emporté le corps.

Un Neuchâtelois de 33 ans a perdu la vie dimanche dans la région du Petit Combin, alors qu'il pratiquait le "wingsuit". Il a ensuite été emporté par une avalanche, a communiqué lundi la police cantonale valaisanne. Les conditions ne permettront vraisemblablement pas de retrouver son corps avant l'été.

Dimanche, vers 14 heures, deux hommes ont sauté d'un hélicoptère afin de pratiquer le "wingsuit". L'appareil se trouvait à une altitude d'environ 4'000 mètres. Leur intention était de se poser dans le secteur de Bourg-St-Pierre.

L'un d'eux est parvenu à atterir comme prévu et, n'ayant plus de contact avec son ami, a transmis l'alerte. Air-Glaciers et la Maison du Sauvetage ont fait un survol et ont pu constater la présence de la victime, qui avait heurté le sol au niveau du glacier "Pendant" du Petit Combin (pente ouest - altitude environ 3'000 m).

Le lieu du drame a été repéré mais une avalanche s'est déclenchée peu après l'accident et a emporté la victime, qui a disparu sous une importante couche de neige.

Un nouveau survol a été effectué lundi matin, en présence des spécialistes de la police cantonale. La masse neigeuse et les particularités de cette zone ne permettent pas aux secours de procéder à des recherches. Le secteur sera régulièrement observé afin de récupérer le corps du malheureux, ce qui semble difficile avant l'été.


"Rambo" a dû être euthanasié!

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Un samoyède âgé de 4 mois a été victime d'un acte de cruauté. Plainte pénale a été déposée.

Martine Fleutry a la voix étreinte par l'émotion. Cette Martigneraine âgée de 52 ans a subi un grave accident à la fin des années septante. Depuis, les chiens occupent une place essentielle dans son existence. Elle en a eu cinq, "Brahma", "Rambo", "Dick", "Rocky" et encore "Rambo". " J'ai toujours eu des chiens dans ma vie, ils m'ont aidée à surmonter mon handicap et à remarcher après mon accident. D'ailleurs, j'ai toujours eu un animal à mes côtés ", souligne-t-elle. Sa tristesse, sa colère aussi puisent leur origine dans la mort de son dernier petit compagnon, "Rambo", un samoyède âgé de 4 mois seulement. Après avoir longuement discuté avec les membres de sa famille, elle a décidé d'en parler.

Côtes cassées constatées par la vétérinaire

Martine, qui habite à l'avenue du Grand-Saint-Bernard 68, à Martigny, n'a pas l'intention de mettre des gants pour expliquer les circonstances de la disparition de "Rambo". " Il a été victime de maltraitance. On peut parler d'acharnement et même de cruauté. Le 7 février, nous l'avons amené chez la vétérinaire, à Martigny. Le lendemain, elle nous a dit qu'il avait plusieurs côtes cassées et que, selon toute vraisemblance, quelqu'un lui avait enfoncé un pieu dans la gorge. C'est pour cela qu'il a dû être euthanasié ", raconte-t-elle, des trémolos dans la voix. " Nous sommes allés le chercher en France, près de Grenoble. Je l'avais depuis le mois de décembre. Il était plein de vie. Je ne comprends pas que l'on puisse ainsi s'en prendre à un petit animal sans défense qui faisait confiance à toutes les personnes qu'il rencontrait ."

Des choses "bizarres"

Le 10 février, la famille Fleutry a déposé une plainte pénale contre inconnu auprès de la police cantonale. Une enquête a été ouverte et une nécropsie ordonnée dans la foulée pour connaître les circonstances exactes de la mort de "Rambo". La Ligue valaisanne de protection des animaux a également été informée de la situation. " Nous voulons absolument savoir ce qui s'est passé ", lâche Georges Fleutry, le père de Martine. Il relève au passage que ce n'est pas la première fois que " des choses bizarres " se produisent dans ce quartier situé à proximité du Bourg, entre une table réputée de la région et une entreprise de pompes funèbres pour être très précis. Des chats auraient ainsi ingéré de la mort-aux-rats et plusieurs plaintes ont été déposées, sans trop de résultat pour l'instant. " Dans le quartier, on sait ce qu'il en est, mais personne ne peut ou ne veut bouger le petit doigt. On ne comprend pas ", lâche Georges Fleutry, un brin dépité.

Un nouveau compagnon en vue pour Martine

" Je suis écoeurée par de tels agissements ", déclare Martine qui, visiblement, a de la peine à s'en remettre. Elle qui avait les yeux de Chimène pour son petit "Rambo" a décidé de faire contre mauvaise fortune bon coeur. Elle a même déjà entamé des recherches en vue de l'acquisition d'un nouveau compagnon à quatre pattes. " Je le recevrai dans quelques semaines, mais j'ai peur de ce qui risque de lui arriver. Et je crains aussi pour mon intégrité physique. "

Du temps pour enquêter

A la police cantonale, le porte-parole Markus Rieder confirme qu'une plainte contre inconnu a été déposée en date du 10 février: " Une enquête a été diligentée par le Ministère public, mais cela peut prendre du temps, car tout un travail de recherche et de récolte de preuves doit être mené avant de pouvoir procéder à une interpellation. "

En route vers la 10 e édition

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L'Avalanche Festival a fait un tabac.

Avec 1000 spectateurs le samedi et 600 le vendredi les organisateurs de l'Avalanche Festival tirent un bilan globalement positif de la 9e édition organisée à Salvan/Les Marécottes.

Aurélien Darbellay, en charge des relations publiques: " Tout s'est très bien passé. Nous avions émis quelques craintes suite à la délocalisation de la manifestation au Tinderray du fait de la démolition de l'ancienne salle de gym. Au bout du compte, cette infrastructure provisoire a parfaitement répondu aux attentes. Du côté des groupes, Vedett, Stevans et Hundred Days ont été grandioses le vendredi soir. Et ça a été hallucinant le samedi avec The Rambling Wheels et Squarelectric qui ont tout donné sur la scène! "

Sous le tipi aux Marécottes, l'after-ski du samedi a eu droit à son lot d'émotions avec quelque 400 personnes de passage durant la journée. Un bémol cependant: suite à différents problèmes techniques, le chanteur Jacko n'a pas été en mesure de se produire sous le tipi. Le comité d'organisation tient à s'excuser des désagréments provoqués auprès des nombreux fans qui ont effectué le déplacement. Au chapitre des points positifs, la navette mise en place entre la gare de Martigny et le site de la manifestation a parfaitement justifié son rôle. " Les festivaliers ont été nombreux à utiliser cette formule. Nous devons continuer dans cette voie ", note Aurélien Darbellay.

L'Avalanche Festival en sera à sa 10e édition en février de l'année prochaine. " Pour marquer le coup, on va s'y mettre plus rapidement qu'à l'accoutumée. Je pense que ce sera une toute grande fête de la musique." CM

Le Fluoday pour faire la fête

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Journée fun le samedi 1 er mars sur les pistes.

A l'occasion de la 2e édition du Fluoday le samedi 1er mars, Ovronnaz se pare de fluo du sommet des pistes de ski au coeur de la station. Des navettes à tarif préférentiel au départ de Sion et de Martigny se chargeront du transport des fluo-skieurs sur les pistes de ski et assureront le trajet retour.

Waterschuss, parcours à obstacles pour la compétition fun: les pistes de ski seront transformées pour l'occasion. La compétition fun, par exemple, réunira les experts du monoski, du skibob ou des skis en bois.

Dès 14 heures, diverses activités seront proposées pour un après-ski déjanté sur les pistes et en station, où familles et enfants y trouveront leur compte. A 17 heures, la remise des prix de la compétition fun aura lieu sous le Dôme où la soirée se prolongera avec musique et DJs sur les thèmes du vintage et du fluo.

Cette année, Ovronnaz Tou-risme a mandaté des étudiants de la prestigieuse Ecole hôte-lière de Lausanne pour développer le concept de la Fluoparty et faire revivre les années nonante sous le Dôme. Plus de 250 étudiants ont annoncé leur participation. CM/C

Une "Fluobox" avec le nécessaire pour s'équiper est en vente à l'office du tourisme. Toutes les infos sur www.ovronnaz.ch et au 027 306 42 93.

Vernissage multiple

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Vendredi 28 février, à 18 heures à la Fondation Pierre Gianadda aura lieu le vernissage de l'exposition "La beauté du corps dans l'Antiquité grecque", en collaboration avec le British Museum de Londres. Suivront les vernissages, au Foyer, des statues d'Apollon et d'Hercule découvertes à Mar- tigny, et des photographies de Léonard Gianadda sur la Médi-terranée. Ces expositions seront ouvertes jusqu'au 9 juin, tous les jours de 10 à 18 heures. C

L'héritage de l'oncle Jules Lugon!

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Dégustation des produits Sayon, une marque péruvienne créée par un authentique Saillonin, vers 1880.

Les élèves de la classe de Claudy Raymond ont eu droit à une drôle de séance de dégustation cet hiver. " Des biscuits, des tranches de panettone et des bonbons, arrivés en droite ligne du Pérou et tous estampillés Sayon" , précise l'enseignant de Saillon qui a organisé la découverte de ces produits exotiques à des fins... historiques. " Quand j'ai appris que cette marque très connue en Amérique du Sud avait été fondée par un authentique Saillonin, Jules Lugon, parti chercher fortune en Amérique du Sud en 1862, j'ai voulu en faire profiter mes élèves de 6e primaire."

Parti chercher l'Eldorado

L'occasion pour l'enseignant de remonter le temps et de faire comprendre à la nouvelle génération les raisons qui ont poussé des dizaines de Saillonins à traverser l'océan pour démarrer une nouvelle vie. "Minotier, Jules était issu d'une famille qui a toujours fait tourner le moulin de Saillon. Mais le travail a commencé à manquer et il n'a pas hésité, à 17 ans et avec l'accord de la com mune, à quitter sa terre natale pour partir en Amérique du Sud chercher l'Eldorado." Directeur du Cycle d'orientation de Leytron, passionné d'histoire et lui-même parent éloigné du fameux Jules Lugon qui n'était autre que le frère de sa grand-mère, Philippe Terrettaz apporte un éclairage plus précis sur le for midable destin de ce Saillonin émigré. "Il a d'abord transité par l'Argentine, puis a découvert le Chili et le Paraguay avant de s'installer à Lima où il fonde un famille de 4 enfants et ouvre sa première boulangerie." Un commerce qu'il n'aura de cesse de faire croître.

Saillonins en renfort

D'artisanale, la boulangerie familiale va ainsi devenir une véritable industrie au fil du temps, dans un quartier de Lima qui, lui aussi, continue de grandir. Jeune nonagénaire de Saillon, Claude Roduit a vécu de l'intérieur le formidable développement de cette affaire. " Jules avait besoin de forces vives pour faire tourner son entreprise. Il n'a pas hésité à faire appel à ses neveux et nièces restés en Valais."

C'est ainsi que Claude embarque avec ses parents, son frère et sa soeur à La Rochelle, direction le Pérou. "J'ai appris à marcher sur le bateau, pendant la traversée. Nous sommes restés cinq ans au Pérou où mon frère Martial a fait partie d'une équipe de foot. Je me rappelle parfaitement que nous vivions dans une annexe de la boulangerie."

De retour au pays après leur expérience péruvienne, Claude et sa famille n'en conservent pas moins d'étroits contacts avec leurs cousins d'Amérique. "Et c'est une constante dans les relations que n'ont cessé d'entretenir les descendants de Jules Lugon avec Saillon où ils reviennent régulièrement. Certains continuent d'ailleurs de voter par correspondance, ayant conservé la double nationalité."

La menace du Sentier lumineux

Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si la marque phare de l'entreprise créée par Jules Lugon et qui emploie aujourd'hui plus de 1000 collaborateurs s'appelle désormais "Sayon". "Lorsque les terroristes du Sentier lumineux ont commencé à enlever de riches entrepreneurs péruviens, la famille Lugon a décidé de faire disparaître son nom des paquets de biscuits ou de panettones pour éviter de devenir des cibles."

Et le choix des descendants de Jules s'est porté sur l'appellation Sayon parce que ce nom comprenait le même nombre de lettres que Lugon, mais aussi en souvenir de leurs origines . "Et pourquoi pas un jour des panettones Sayon sous le sapin de Noël ou en vente à Saillon?" , s'interroge Claudy Raymond.

Le carnaval sans fausse note

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Les fanfares Edelweiss et Echo d'Orny font cause commune.

Parole de coprésident - Grégoire Rausis en l'occurrence - le carnaval d'Orsières et son cortège dominical constituent l'un des rendez-vous du genre parmi les plus appréciés dans la région. "Tous les ans, nous pouvons compter sur la participation des sociétés locales, des enfants des écoles, des classes de contemporains et de nombreuses guggenmusiks. Une vingtaine de groupes défileront dimanche prochain dans les rues d'Orsières. Cela représente près de 600 figurants", se réjouit Grégoire Rausis avant d'enchaîner: "Bon an, mal an, je pense que plus d'un millier de spectateurs sont au bord de la route. Les gens de l'Entremont jouent le jeu. Tout cela est le résultat d'une réflexion menée il y a une douzaine d'années. C'était le temps où Orsières servait de cadre à deux carnavals, celui de la fanfare Edelweiss, la démocrate-chrétienne, et celui de la fanfare Echo d'Orny, la radicale. Depuis une décennie, les deux sociétés travaillent main dans la main pour mettre sur pied un seul carnaval et tout se passe en parfaite harmonie."

Des forces mises en commun

A l'époque, l'Echo d'Orny et l'Edelweiss oeuvraient chacune de son côté. "Avec le temps, on s'est rendu compte que l'affluence était à la baisse. Une prise de conscience s'est alors opérée, qui a débouché sur une mise en commun des forces en vue de l'organisation du carnaval d'Orsières. Un comité ad hoc formé de représentants des deux formations et de gens de l'extérieur a été constitué. Et ça marche!" ajoute l'homme de l'Edelweiss qui préside donc aux destinées du carnaval d'Orsières aux côtés de Jean-François Landry, de l'Echo d'Orny.

Côté animations, la tradition des grands orchestres français, comme cela se faisait à l'époque, n'est plus vraiment d'actualité. "En 2013, nous avons engagé une formation d'une dizaine de musiciens pour essayer d'intéresser toutes les générations. Comme le succès a été plutôt mitigé, nous avons décidé de jouer la carte de la jeunesse cette année avec un DJ" , note Grégoire Rausis. A Orsières, l'accent est désormais mis sur le cortège. "Pour nous, c'est LE rendez-vous par excellence du carnaval. Les guggenmusiks sont de la fête. Nous collaborons même étroitement avec le carnaval de Bagnes pour ce qui concerne la prise en charge de certaines sociétés de l'extérieur. Les frais sont partagés, c'est de très bonne guerre."

Voici netPlus Entremont

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Sateldranse modifie sa communication.

En main des communes de Bagnes, Bourg-St-Pierre, Liddes, Orsières, Sembrancher et Vol lèges, l'entreprise multimédia de l'Entremont Sateldranse SA a fêté ses 25 ans en 2013. Ce fut l'occasion de se pencher sur son image auprès de sa clientèle, souligne son directeur Julien Gillabert: "Il nous a semblé opportun de se poser la question de l'importance de la marque Sateldranse aux yeux de nos clients. Nous sommes arrivés à la conclusion que ce qui leur importe, c'est plus la qualité de nos prestations, de nos conseils et notre service après-vente, que notre nom."

L'étude a également fait ressortir que les gens étaient sensibles au facteur de proximité poursuit M. Gillabert: "Nous avons par conséquent décidé de tirer profit de la capitalisation de la marque net+ que nous utilisons depuis presque quinze ans, au même titre que sept autres sociétés en Valais. Comme netPlus investit tout au long de l'année pour communiquer sur ses produits, ses offres et sa valeur ajoutée, communiquer sous l'appellation netPlus Entremont s'est naturellement imposé."

Aucun changement pour la clientèle

Cette nouvelle manière de communiquer n'entraîne aucun changement pour la clientèle, notamment au niveau des tarifs, l'entité juridique Sateldranse SA demeurant toujours valable.

On rappellera que Sateldranse SA est le leader du multimédia en Entremont avec près de 10 000 clients TV bénéficiant de 120 chaînes à choix.

Plus de 1 000 clients peuvent également visionner, grâce à la netBox, les émissions jusqu'à sept jours en arrière et plus de 1 000 films en français; plus de 6 000 clients connectés au monde entier peuvent tweeter ou partager leur vie sur Facebook; plus de 2 500 clients enfin peuvent bénéficier de la gratuité de leurs communications téléphoniques fixes. OR


Le minitéléski est ouvert

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Mis en service l'hiver dernier au coeur du village, le minitéléski de Trient est à nouveau en fonction. Complétant l'offre hivernale de Trient (ski de fond, piste de luge, parcours raquettes, patinoire), il est ouvert aux skieurs tous les jours, de 9 h 30 à 16 h 30. Quant à la navette gratuite pour la piste de luge, elle est aussi en fonction tous les jours, de 13 h 30 à 16 h 30. OR/C

La nouvelle école pour 2016

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Le projet de l'atelier d'architecture sédunois Rudaz & Rudaz a séduit le jury.

Projection informatique du centre scolaire, avec, sur la droite, le futur bâtiment.

DR

Le projet d'agrandissement et de transformation du centre scolaire de Riddes a franchi une nouvelle étape à l'occasion de la cérémonie de remise des prix du concours d'architecte organisée par la commune en collaboration avec le Service cantonal des bâtiments et le Service cantonal de l'enseignement (Le Nouvelliste du 25 novembre 2013). Vingt et un dossiers ont été déposés et examinés par le jury à la fin janvier. A l'unanimité, le premier prix a été décerné à "Yahtzee", de l'atelier Rudaz & Rudaz, à Sion. " Ce projet répond parfaitement aux attentes du jury. Il offre un nouvel espace public à la vie villageoise en contrebas et maintient le caractère scolaire de la cour de récréation en la dédiant entièrement aux élèves ", a souligné l'architecte cantonal Olivier Galletti, président du jury, lundi lors de la proclamation des résultats.

Offrir aux enfants "les outils nécessaires"

" Ce dossier d'agrandissement et de rénovation de notre école est l'un des projets phares de la législature en cours. Offrir à nos enfants les outils nécessaires et adéquats à leur réussite scolaire est primordial pour le développement d'un village ", a déclaré avant-hier soir le président de la commune. Jean-Michel Gaillard s'est dit heureux à l'idée de savoir que " le projet retenu préserve dans sa quasi-intégralité le préau et le patrimoine existants, tout en supprimant le mur longeant la rue de la Poste, permettant ainsi la création d'une nouvelle petite place devant l'entrée actuelle de la salle du collège ."

Construit en 1956, le centre scolaire de Riddes accueille actuellement 230 élèves répartis en huit classes enfantines et primaires. " Ces locaux ne répondent plus aux conditions matérielles et organisationnelles d'un enseignement moderne. D'autre part, notre commune connaît une augmentation du nombre de ses habitants. Plusieurs familles se sont installées et seront amenées à le faire du fait de l'ouverture récente de nouvelles zones à bâtir, principalement sur le haut du village ", a ajouté Jean-Michel Gaillard. L'orateur s'est également félicité de " la situation privilégiée au milieu du village " dont jouit l'école, saluant au passage la vision futuriste de ceux qui l'ont conçue en 1956.

Douze nouvelles salles de classe à construire

Concrètement, le projet prévoit l'implantation d'un nouveau bâtiment doté d'un rez inférieur et de trois niveaux appelés à recevoir douze salles de classe. Les locaux existants feront ensuite l'objet de travaux de rénovation. La construction nouvelle se fera entre mars 2015 et août de l'année suivante. " A la rentrée scolaire 2016, les enfants y seront installés afin de permettre le coup d'envoi de la transformation du bâtiment actuel. Si tout va bien, tout sera terminé vers la fin 2017 ", espère le président Gaillard. Un investissement global de l'ordre de dix millions de francs - six à sept millions pour le nouveau bâtiment et deux à trois millions pour la transformation - a été budgétisé pour les besoins de ce projet. Huit millions de francs seront à la charge de la commune, montant sur lequel les citoyens auront à se prononcer le 22 mai prochain en assemblée primaire.

Les projets sont visibles jusqu'à vendredi, puis du 3 au 7 mars de 17 à 19 heures dans la salle située sous la nouvelle église de Riddes.

Remise des mérites 2013

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La Sainte-Catherine et les bénévoles à l'honneur.

L'exécutif saillonin a récemment remis deux mérites communaux pour l'année 2013.

Un mérite spécial a été décerné à Grégory Thurre, président du comité d'organisation de la course de la Sainte-Catherine. Le succès de cette dernière ne s'est jamais démenti, bien au contraire puisque le nombre de coureurs a passé de 274 lors de la 1ère édition en 1987 à plus de 800 en 2013. Avec ce mérite, la Municipalité salue l'aspect populaire de l'épreuve, qui rassemble petits et grands dans les ruelles étroites du bourg médiéval, et son ambiance unique et chaleureuse malgré les frimas de novembre.

Un mérite social a ensuite été remis à Marie-José Roduit, présidente de la l'Association des bénévoles de Saillon (ABS) depuis sa création, il y a 5 ans. L'ABS compte actuellement 40 bénévoles qui s'activent en faveur des personnes âgées ou malades, contribuant ainsi à leur maintien à domicile. Elle donne également aux familles l'occasion de se décharger de temps à autre de certaines tâches journalières. Parmi les services proposés, on citera les livraisons de repas à domicile, les transports privés, les personnes de compagnie, les visites de malades en milieu hospitalier et à domicile, le service administratif, la bibliothèque à domicile, des animations diverses... OR

La Fête de la Musique connaîtra une 2e édition

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Après le succès de la fête 2012, la musique sera à nouveau l'honneur à Orsières les 20 et 21 juin prochains. On rappellera que chaque année, le jour du solstice d'été, plus de 110 pays et 350 villes et villages sont réunis autour de la Fête de la Musique. Manifestation populaire et gratuite, cette dernière célèbre la musique sous toutes ses formes. Orsières se joint au mouvement pour la seconde fois au mois de juin 2014.

Les objectifs du comité d'organisation, qui avait d'emblée affirmé que la fête serait en principe mise sur pied tous les deux ans, sont les mêmes que lors de l'édition 2012: deux jours de fête et une programmation de qualité réunissant 400 artistes, musiciens, chanteurs, danseurs, individuels, groupes et sociétés. La programmation est en cours de finalisation, notamment au niveau des têtes d'affiche qui se produiront sur la grande scène.

Un concept original

Comme en 2012, tout va se passer au coeur du village, avec des concerts sur des scènes en plein air, dont la grande scène sur la place centrale, d'autres à l'église et d'autres encore dans des granges transformées en salles de concert et sonorisées par des professionnels. Ces granges pourront accueilleront ainsi des prestations intimistes, chaleureuses et authentiques à la fois. Ce concept original, très apprécié des musiciens et du public lors de la 1re édition, donne un cachet unique à la Fête de la Musique "made in Orsières".

L'entrée à la manifestation sera gratuite, mais un pass de soutien sera proposé aux spectateurs afin d'assurer aussi le succès financier de la fête. OLIVIER RAUSIS

Un A320 de SWISS baptisé Verbier

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Des dirigeants de SWISS, les autorités communales de Bagnes et de nombreux invités ont officiellement baptisé un A320 du nom de Verbier ce matin. En présence des trois parrains, Roland Collombin, Philippe Roux et William Besse.

~~Depuis ce matin, un A 320 de SWISS porte officiellement le nom de Verbier. Les représentants de notre compagnie aérienne nationale, les autorités communales de Bagnes et de nombreux invités ont rallié l’Hôtel W ce jeudi pour voir le curé Bernard Gabioud bénir le modèle réduit de cet avion, l’original étant en train de voler quelque part entre Genève et Londres. Et ce n’est pas un, mais ben trois parrains prestigieux qui ont salué ce baptême en sabrant le champagne, soit les anciennes gloires du ski suisse et authentiques Bagnards Roland Collombin, Philippe Roux et William Besse.
Le Directeur général de la compagnie nationale pour la Suisse romande, Lorenzo Stoll, avait fait tout express le déplacement de la grande station bagnarde pour porter sur les fonts baptismaux ce nouveau fleuron du tourisme helvétique. Ancien élève de l’actuel président de Bagnes Eloi Rossier alors qu’ié étudiait à La Fouly, le numéro un de SWISS en Suisse romande s’est réjoui de voir Verbier rejoindre le club très fermé des localités suisses disposant d’un avion à leur nom. « Sachez que pour entrer dans ce club-là, il n’est pas possible de déposer une quelconque candidature. On est élu, élu pour son rayonnement touristique, culturel ou encore économique. En l’occurrence, Verbier réunit toutes ses caractéristiques.» Un hommage qui a bien sûr comblé d’aise Eloi Rossier le président de Bagnes qui s’est dit honoré et fier de voir l’un des fleurons de notre aviation pouvoir arborer le nom de Verbier. «Ce lien symbolise notre ouverture sur le monde et notre attachement à notre compagnie nationale.»
A noter que Verbier est la cinquième localité valaisanne à obtenir cette reconnaissance après Zermatt en 2008, Sion et Brigue en 2010 puis Crans-Montana en 2012.
 

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